j'aimerais ça
mourir
comme un chat
sous ton char
les pattes pognées
dans tes essieux fumants
rouler comme un tas
de peneu
à peneu
pis miauler
stie dsale vie chienne
en regardant
une dernière fois
ton pot
d'échappement
rétrécir
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Ho waow.
RépondreSupprimerJ'aime vraiment celui-là.
Vraiment beaucoup beaucoup!
mais!
RépondreSupprimerJ'aurais plutot tendance à vouloir lire:
Les pattes pognées
dans tes essieux fumants
rouler comme un tas
de pneu
à pneu
Comme ça, ca met les deux derniers vers en valeur..
Il me semble que ça ferait une belle lecture, ce poème-là!
RépondreSupprimerC'est vrai que ç'a fait une pas pire lecture. J'ai préféré la deuxième toune à la guitare, par contre. Des affaires de couvartes, là, c'était bien gras dans le ton, tsé, bien goûteux.
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