vendredi 24 juillet 2009

j'aimerais ça
mourir
comme un chat
sous ton char

les pattes pognées
dans tes essieux fumants

rouler comme un tas
de peneu
à peneu

pis miauler
stie dsale vie chienne
en regardant
une dernière fois
ton pot
d'échappement
rétrécir

4 commentaires:

  1. Ho waow.
    J'aime vraiment celui-là.
    Vraiment beaucoup beaucoup!

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  2. mais!
    J'aurais plutot tendance à vouloir lire:

    Les pattes pognées
    dans tes essieux fumants

    rouler comme un tas
    de pneu
    à pneu

    Comme ça, ca met les deux derniers vers en valeur..

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  3. Il me semble que ça ferait une belle lecture, ce poème-là!

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  4. C'est vrai que ç'a fait une pas pire lecture. J'ai préféré la deuxième toune à la guitare, par contre. Des affaires de couvartes, là, c'était bien gras dans le ton, tsé, bien goûteux.

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